Il est malsain pour une démocratie que le pouvoir soit détenu par un seul parti. Une majorité absolue impose, à défaut de convaincre. Or, la répartition bénéfique des responsabilités, le Conseil général l’a connue ces 4 dernières années sous la direction d’un représentant d’un parti minoritaire, ainsi qu’avec la présidence de la Commission de gestion confiée à Pascal Coudray de l’Alternative Vétrozaine.
Le Président d’une commune est le garant de son bon fonctionnement. Des aspects comme la transparence, l’exemplarité et la vision à long terme ne sont pas des notions de gauche ou de droite, mais des signes de volonté et de personnalité.
En 4 ans, j’ai fait aboutir de nombreux projets. A la tête de la commune, je concrétiserai les engagements du Conseil communal. Par exemple, je ne permettrai pas que les investissements prévus dans les infrastructures d’évacuation des eaux ne soient réalisés qu’à moitié, comme cela a été le cas malheureusement depuis bientôt 10 ans. Attendre les inondations à répétition pour agir est une attitude irresponsable.
Pour la période administrative à venir, le PDC dispose déjà de la majorité absolue au Conseil communal et revendique en plus la présidence et la vice-présidence. Il est donc important qu’un parti minoritaire accède aux postes de président ou de vice-président, afin de garantir le contrepoids politique nécessaire.
Osez le changement
Olivier Cottagnoud, candidat à la présidence de Vétroz